Aymeric Gibet : Découvrez comment l’équipage du Belem sollicite en permanence ses mollets pour naviguer

Plongez au coeur de l’aventure maritime avec l’équipage du Belem et explorez comment ces marins d’exception mettent leurs mollets à contribution pour naviguer à travers les mers. Une immersion unique dans le monde de la voile et de la navigation !

Aymeric Gibet : Découvrez comment l’équipage du Belem sollicite en permanence ses mollets pour naviguer

Lorsque l’on pense à la navigation, on imagine souvent les capitaines et les marins se déplaçant gracieusement sur le pont d’un navire, luttant contre les vagues et le vent. Mais ce que l’on oublie souvent, c’est que la navigation à voile demande un effort physique intense, en particulier au niveau des mollets. Aymeric Gibet, commandant du Belem, nous raconte comment l’équipage du célèbre navire sollicite en permanence ses mollets pour naviguer.

La charge mentale, source de fatigue

Être commandant d’un navire comme le Belem demande une grande concentration et une charge mentale importante. Aymeric Gibet explique qu’il a toujours une feuille avec lui, sur laquelle il note toutes les actions à réaliser dans les prochaines quarante-huit heures. Cette méthode lui permet de limiter sa charge mentale et de se projeter dans les différentes tâches à accomplir. Mais cette charge mentale peut être source de fatigue, tout comme le stress lié à la responsabilité de commander le navire.

Le corps mis à l’épreuve

En plus de la fatigue mentale, l’équipage du Belem doit faire face à des conditions physiques difficiles. Les marins sont constamment sollicités sur leurs mollets, que ce soit en tirant sur les bouts ou en montant dans la mâture. Aymeric Gibet souligne que le navire n’est pas ergonomique, avec de nombreux escaliers à gravir à chaque déplacement. Cela demande donc une condition physique optimale pour supporter cet effort constant sur les mollets.

Les risques de blessures

En plus de la fatigue musculaire, les marins peuvent également se blesser lors des manœuvres à bord du Belem. Aymeric Gibet raconte avoir déjà fait un lumbago en soulevant une charge lourde, ce qui l’a handicapé pendant plusieurs jours. Les escaliers et les nombreux obstacles présents sur le navire peuvent également être la cause de blessures, notamment en cas de précipitation et de fatigue. Il est donc primordial pour l’équipage de rester vigilant et de prendre soin de leur corps pour éviter les accidents.

L’équipage du Belem : une équipe sportive

Selon Aymeric Gibet, l’équipage du Belem et une équipe sportive ont beaucoup de points communs. Il y a un capitaine et un effort collectif de la part de chaque membre de l’équipage. Comme dans une équipe sportive, chaque membre a son rôle et sa position à tenir, et il suffit qu’un seul membre soit indisponible pour que l’ensemble de l’équipe soit impactée. Aymeric Gibet souligne également que l’équipage du Belem accueille également des invités, ce qui demande une grande réactivité et une bonne gestion des remplacements.

En conclusion, naviguer à bord du Belem demande un effort physique constant, en particulier au niveau des mollets. L’équipage doit être en bonne condition physique pour supporter la charge de travail et éviter les blessures. Les marins du Belem sont de véritables athlètes de la mer, sollicitant leurs mollets pour assurer le bon déroulement de la navigation. Aymeric Gibet, en tant que commandant, joue un rôle crucial dans la gestion de cet effort physique et mental. Une chose est sûre, la navigation à voile n’est pas uniquement une affaire de voiles et de gouvernail, mais aussi de mollets solides et endurants.