Stéphane Nomis brigue un deuxième mandat à la présidence de la Fédération de judo
Stéphane Nomis, président de la Fédération française de judo depuis 2020, a annoncé sa candidature pour un deuxième mandat lors de l’assemblée générale fédérale qui s’est déroulée à Caen (Calvados). Âgé de 53 ans, Nomis a exprimé sa volonté de poursuivre son travail à la tête de la Fédération de judo, jujitsu, kendo et disciplines associées.
Dans un texte publié sur les réseaux sociaux à l’issue de l’assemblée générale, Stéphane Nomis a fait part de sa déclaration de candidature. Il est déterminé à continuer à développer et promouvoir le judo en France, tout en veillant au respect des traditions et des valeurs de ce sport ancestral.
Au cours de son premier mandat, Stéphane Nomis a mis en place diverses initiatives pour renforcer la pratique du judo en France. Il a notamment travaillé sur la formation des jeunes judokas, en mettant en place des programmes de détection et de développement des talents. Il a également œuvré pour une meilleure représentation du judo français au niveau international, en soutenant les athlètes de haut niveau dans leur préparation pour les compétitions internationales.
Stéphane Nomis s’est également engagé dans la lutte contre les discriminations et le harcèlement dans le judo. Il a mis en place des mesures pour sensibiliser les pratiquants et les encadrants à ces problématiques et pour assurer un environnement sûr et respectueux pour tous les judokas.
La candidature de Stéphane Nomis pour un deuxième mandat à la présidence de la Fédération de judo est une preuve de son engagement et de sa passion pour ce sport. Il souhaite continuer à faire progresser le judo en France et à défendre les intérêts des judokas de tous niveaux.
La décision finale sera prise lors de l’élection présidentielle de la Fédération de judo. Les membres de la fédération auront ainsi l’occasion de choisir leur prochain président, en prenant en compte les réalisations et les propositions de chaque candidat.
En conclusion, Stéphane Nomis aspire à briguer un deuxième mandat à la présidence de la Fédération de judo. Son expérience et son dévouement font de lui un candidat sérieux et légitime pour poursuivre son travail à la tête de la fédération et continuer à développer le judo en France.
